Titre original : El asesino hipocondríaco (ES)
Auteur : Juan Jacinto Muñoz Rengel
Édition : Pocket
Date de parution : 2013
Nombre de pages : 229
Genre : Heu... ? Général ?
Décor : Espagne
Lu en : Décembre 2016
Quatrième de couverture : Monsieur Y., tueur à gages de son métier, n'a plus qu'un jour à vivre... Deux, maximum. En réalité, M. Y. se réveille chaque matin :
1) persuadé qu'il s'agit du dernier jour de sa vie,
2) déterminé à tuer Eduardo Blaisten, qu'il poursuit depuis un an et deux mois exactement.
Mais, en plus d'être atteint de maladies toutes plus rares et/ou imaginaires les unes que les autres, M. Y. souffre d'une malchance chronique. Si seulement il ne s'était pas endormi dans le métro la fois où il aurait pu pousser Blaisten sur les rails ! Au fil de ses tentatives d'homicide, M.Y. établit des liens évidents entre ses propres symptômes et les grands maux qui torturent Proust, Voltaire, Tolstoï, Molière, entre autres grands hypocondriaque de l'histoire. Et lui, arrivera-t-il à accomplir sa dernière grande œuvre ?
Mon avis : Monsieur Y est un tueur et il est hypocondriaque, ohhhh, suspense, tout était déjà dans le titre et résume en fait les 229 pages de ce roman. Que peuvent donc contenir toutes ces autres pages ? Une bonne tranche de rigolade ? Je l’espérais, mais… non… Du remplissage, uniquement du remplissage, de Monsieur Y en train de se plaindre encore et encore, en train de nous expliquer par le menu toutes les maladies dont il souffre et de passages pseudo historiques pour nous présenter d’autres grands esprits, qui, comme lui, étaient hypocondriaques, ne faisaient pas confiance aux médecins, ou souffraient de multiples maladies…
Franchement, que dire de plus sinon que je me suis ennuyée tout du long ? Je ne m’attendais tellement pas à ça ! Ce qui est censé être drôle tombe à plat, ce qui est censé être intéressant est lourd et le tout s’articule avec la grâce et la fluidité d’un gros dindon qui pique un sprint.
Je suppose que ça ne sert à rien que je vous en dise plus… Tout est du même acabit de la première à la dernière page avec Monsieur Y qui rate ses coups, qui se plaint non-stop, qui suppose qu’il va mourir et qui se plaint encore et encore et encore… Zzzz.
Je ne conseille vraiment pas ce roman, parce qu'au final, je me suis plus amusée à imaginer ledit gros dindon piquer un sprint qu’à lire ce livre… Donc passez votre tour sans souci et, c’est pour moi c’est cadeau :
Zzzzzzzzzzzzzzzzz
Oh oh ! quelle cote !
RépondreSupprimer