Titre original : The Mist
Auteur : Stephen King
Édition : Pocket
Nombre de tomes : Un seul en VO, mais deux en VF
Date de parution : 1989
Nombre de pages : 410
Genre : Nouvelle, thriller
Décor : États-Unis, divers États
Lu en : Septembre 2017
4/10 le reste
Quatrième de couverture : De l'autre côté du lac, David ne distingue absolument rien, sinon une brume qui ne se dissipe pas.
Apparue après une tempête d'une rare violence, la masse blanchâtre et informe suscite vite l'inquiétude des habitants. Qui veulent aller se renseigner sur ce qui se passe sur la rive opposée. Mais avant d'avoir pu tenter quoi que ce soit, la brume est déjà là, d'abord infranchissable, puis oppressante, et bientôt terrifiante. David ne peut admettre ce qu'il discerne. Défi de la nature déchaînée ou reflet de son imagination paranoïaque ? Pour lui subsiste une seule, mais paradoxale certitude : tout cela ne peut être vrai... Chacune des nouvelles de ce recueil révèle l'envers hallucinant d'un décor qui nous est familier, à mi-chemin entre avant-goût d'apocalypse et délire schizophrénique.
Mon avis : Tome 1 :
Voilà, je suis arrivée à la fin du recueil de nouvelles Brume. La première nouvelle s'intitule justement Brume, qui forme environ la moitié du livre, en faisant presque un roman (certes court). C'est la nouvelle qui est à l'origine du film du même nom (The Mist en anglais) et je dois dire que cette nouvelle est exceptionnelle ! J'ai adoré ! J'ai eu un peu peur à plusieurs reprises, pas forcément à cause des horreurs que cache la brume, mais par la description de la brume elle-même. Elle met mal à l'aise, c'est vraiment bien écrit, j'ai vibré, j'ai adoré !
Par contre, les autres nouvelles... ça passe de « bof » à « complètement inutile ». Donc j'ai envie de dire, lisez sans hésiter la première nouvelle, mais vous pouvez laisser tomber le reste sans trop de scrupules !
C'est dur de donner une note, c'est un 10♥ pour la nouvelle Brume, mais c'est un 3-4 pour le reste du recueil. Trop difficile de faire une réelle moyenne qui tienne la route. ^^
À part la nouvelle Brume, le reste est assez bof.
Titre : Brume, la faucheuse (Brume#2)
Titre original : En réalité en un seul recueil en anglais
Auteur : Stephen King
Nombre de pages : 410
Décor : États-Unis, divers États
Genre : Nouvelle, thriller, science-fiction
Lu en : Mai 2017
Quatrième de couverture : Un seul recueil en anglais à la base, voir plutôt le résumé du tome 1, du coup.
« Quand on est mort, on peut se servir de vous comme portemanteau ou vous fourrer dans un pneu de tracteur et vous faire rouler au bas de la côte […] » (P.279 Mémé)
Mon avis : Tome 2 : Je n’ai lu pour l’instant que Brume, la faucheuse, parce que je n’ai que ce tome à la maison. Il s’agit d’un recueil de 12 nouvelles (+ 1 poème), qui sont en soi assez inégaux, qui parlent, entre autres, de la mort, des objets électroniques de notre quotidien qui « prennent vie », de la folie et de l’isolement. Une pointe de fantastique est commune à presque toutes les nouvelles et l’une d’elle porte les couleurs de la science-fiction.
J’ai trouvé ce livre chez moi et je l’ai attaqué, en espérant avoir entre les mains la nouvelle sur laquelle le film Mist a été basé. Manque de bol, elle est dans le premier tome, première déception.
Comme je l’ai dit dans le petit résumé ci-dessus, ce recueil est très inégal, qu’il s’agisse des thèmes abordés, de la longueur, du genre ou même de l’intérêt qui en découle selon moi. Je retiens notamment Sables qui se détache des autres nouvelles de par son genre (S-F). Un vaisseau s’écrase sur une planète où il n’y a que du sable, rien d’autre, qui s’infiltre partout, rendant fous les deux habitants du vaisseau, dont l’un va tout faire pour obtenir de l’aide. L’homme qui refusait de serrer la main m’a également plu, car je ne savais pas trop à quoi m’attendre, et malgré son format court, permet l’introduction des personnages, du décor, ainsi qu’une chute de façon assez bien dosée. Il en va de même, selon moi, pour Le Camion d’oncle Otto.
Malheureusement, d’autres nouvelles sont assez plates, peu intéressantes, ou n’ont pas de chute vraiment travaillée. On ne finit pas vraiment dans une réflexion non plus et je n’ai pas aimé cette dose d’inachevé.
Les deux nouvelles sur le laitier m’ont paru bien longues et ennuyeuses, l’espèce de poème est complètement inutile, et j’en passe.
Je pense qu’il vaut mieux lire une petite nouvelle un jour, puis en lire une autre le lendemain plutôt que de vouloir avaler le livre en une soirée, même si ça ne change en rien le problème d’inégalité qualité/quantité des nouvelles. Il faut aussi savoir que la plupart des nouvelles dénotent une touche de fantastique, de mystérieux ou d’inexplicable.
On va dire que j’ai passé un bon moment avec certaines nouvelles et que j’ai perdu mon temps avec d’autres. Je vais probablement lire malgré tout le « tome » 1, parce que j’ai toujours envie de lire la nouvelle qui a donné naissance à Mist !
En gros, bof, bof, la meilleure nouvelle est clairement dans l'autre recueil en VF, il s'agit de Brume
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