mardi 23 janvier 2018

La Trilogie massaï (tome 1) - Nicolas FEUZ

Titre : Ilmoran, l'avènement du guerrier (La Trilogie massaï#1)
Auteur : Nicolas Feuz
Édition : Autoédité
Nombre de tomes : 3 dans la trilogie de base + 2 préquelles
Date de parution : 2010-2012
Nombre de pages : 361
Genre : Policier, thriller
Décor : Kenya, Tanzanie, Suisse
Lu en : Janvier 2018

9/10

Quatrième de couverture : Premier volet de La Trilogie massaï, ILMORAN, l'avènement du guerrier, conduit le jeune inspecteur de la brigade des stupéfiants Michaël "Mike" Donner des rives du lac de Neuchâtel - petite ville estudiantine suisse, calme et paisible au pied du Jura - jusqu'au coeur le plus secret du Kenya, du littoral paradisiaque et perdu du sud-ouest de Mombasa à la célèbre réserve du Massaï Mara, dans une enquête sur une série de meurtres sordides, qui le mènera aux confins de la noirceur de l'âme humaine et aux portes de la folie.

Mon avis : Je tiens déjà à préciser que la « chronologie » des tomes est un peu compliquée. L’auteur a commencé par écrire les trois tomes de la trilogie massaï, à savoir : Ilmoran, Ilayok et Ilpayiani. Il a ensuite ajouté une première préquelle, Emorata, puis une autre préquelle, qui la suit, Eunoto, qui se passe également avant La Trilogie massaï. Un tout petit peu compliqué, mais ça passe. Je les ai donc finalement lus dans l’ordre chronologique et non dans l’ordre de publication, ordre que je recommande d’ailleurs.

Ilmoran, l'avènement du guerrier :

Après un Emorata génial et un Eunoto qui a complètement dépassé mes attentes, me voilà face à Ilmoran. Dès les premières pages, on se rend compte qu’il y a un léger décalage entre le ton des deux préquelles et celui de la trilogie de base. En effet, Michael, qui avait beaucoup évolué au cours des deux préquelles, semble soudain de nouveau être un peu « bleu », un peu perdu et très en colère, alors qu’il avait commencé à faire du travail sur lui. On en apprend aussi beaucoup sur son passé, dont des éléments qui auraient été un peu plus logiques en amont, mais qui restent globalement pertinents quand on se rend compte de l’ordre de publication.

En ce qui concerne l’histoire en elle-même, on suit Michael Donner, qui va s’en prendre à son passé, pour découvrir tout ce que son père lui a plus ou moins caché au cours de sa vie. (On peut imaginer qu’un grand directeur d’une banque privée peut avoir quelques secrets, je ne pensais pas autant, cependant.) Très rapidement, on se laisse prendre au jeu, et on plonge la tête la première dans une histoire accaparante. Tout commence par un meurtre, puis un autre, et ça ne s’arrête plus. La banque du père de Michael semble être touchée par ces meurtres, mais pourquoi ? Tout s’enchaîne assez logiquement jusqu’à une affaire au Kenya. Et c’est à que tout devient encore plus palpitant ! (Eh oui, c’est encore possible !)

J’ai adoré découvrir le Kenya et suivre Michael dans ses recherches, qui sont juste passionnantes. Quand il découvre peu à peu la vérité, je suis tombée de haut, de très très haut ! Quelques révélations m’ont paru un peu « too much », même si le tout reste possible, peu probable, mais possible. Je tiens à préciser que cet aspect « too much » m’est apparu principalement après la lecture, parce que pendant, j’étais tout simplement scotchée aux mots de l’auteur et aux révélations incroyables qui tombent les unes après les autres.

Je vais lire la suite au plus vite, cette saga promet gros ! Même si j’ai toujours une grosse préférence pour Eunoto ♥.

2 commentaires:

  1. Nicolas Feuz fait partie de mes dernières très bonnes découvertes en matière de polar. Et en plus, ça se passe en Suisse.

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    1. Ohhh oui, j'adore ! J'ai tout lu sauf "La Septième vigne" et le dernier tome de la trilogie massaï, mais je vais les dévorer tout bientôt. Chaque lecture est un pur bonheur !

      Eh oui, ça fait plaisir de voir la Suisse un peu représentée dans les romans. ^^

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