Auteur : Nicolas Feuz, les noces de sang
Édition : Autoédité chez thebookedition
Nombre de tomes : Deuxième tome de la pentalogie massaï.
Date de parution : 17 octobre 2017
Nombre de pages : 393
Genre : Thriller, policier
Décor : Suisse (cantons romands)
Lu en : Septembre 2017
Quatrième de couverture : Il lui promit de l'aimer pour le meilleur et pour le pire, sachant que seul le pire les attendait. Il lui promit de l'aimer jusqu'à ce que la mort les sépare. Mais pas au-delà.
Le Monstre de Saint-Ursanne est-il victime d'une erreur judiciaire ? Qui sont ces jeunes filles décapitées, dont les corps ont été trouvés au château de Valangin et au barrage de Schiffenen ? Pourquoi un gendarme genevois a-t-il été tué devant les HUG ? Jeune inspecteur de la police neuchâteloise, Michaël Donner trouvera-t-il des réponses en ville de Lausanne ou dans le domaine skiable des Quatre Vallées ? Quand l'enquête sur un tueur en série prend une dimension romande et requiert la mise en oeuvre de l'entraide intercantonale...
"Ce septième roman noir du procureur neuchâtelois place définitivement l'auteur au même niveau qu'un Jean-Christophe Grangé ou un Maxime Chattam" (Mensuel Générations, novembre 2016, à propos d'Horrora borealis)
Mon avis : Nicolas Feuz est un auteur coup de cœur, à chaque lecture, je prends énormément de plaisir. J’avais lu trois titres : Horrora Borealis, Les Bouches et Emorata, et ce fut un carton plein à chaque fois ! Quand j’ai vu que j’avais reçu Eunoto (« tome » qui se place entre Emorata et la Trilogie massaï) en SP, autant dire que j’ai sauté de joie et que je bavais (en tout élégance) d’avance. Mille mercis à l’auteur de me l’avoir fait parvenir.
Encore une fois, j’ai passé un moment exceptionnel ! Et quel plaisir de retrouver Michaël Donner, de nouveau engoncé dans une affaire sordide. On le suit dans une épopée folle dans tous les cantons romands, à la recherche d’un terrible criminel. Et quand je dis « terrible », je ne trouve pas les mots pour décrire ce qu’il fait à ses victimes, c’est poignant, il faut retrouver l’auteur de ces crimes au plus vite. Même avec toute la volonté du monde, Michaël se retrouve régulièrement face à un mur, notamment quand il découvre que l’ADN trouvé sur les lieux ne peut pas se trouver là, impossible ! Il y a un problème quelque part… Il a forcément commis une erreur quelque part, mais où ? Et le temps presse… Comment faire pour débrouiller cette pelote de chair et de sang, vous le saurez en lisant (et en prenant un pied d’enfer au passage). Que demander de plus ?).
Comme je l’ai expliqué brièvement, ce tome se passe après Emorata, mais avant Ilmoran, premier tome de la Trilogie massaï, et je dois dire que c’est un tour de force que de réussir à écrire la suite d’une préquelle qui se passe toujours avant la trilogie originelle, que je me réjouis de lire au plus vite, d’ailleurs.
Pas besoin de tergiverser, ce livre est une tuerie ! Il y a tout : du suspense, du mystère, de l’incompréhension, de l’action, de l’aventure, des révélations, tout je vous dis ! Mon cœur a pris l’ascenseur tout au long de ma lecture, car j’ai pris la défense de certains, accusé d’autres, soulevé des injustices… je me suis trompée, souvent, et j’ai été surprise, encore plus souvent ! Et cette fin… Cette fin ! Vous voulez lire cette fin, je vous l’assure. Alors on n’hésite plus (si vous hésitiez…) et on fonce, on fonce, on fonce. Un auteur qu’il FAUT découvrir, un livre qu’il FAUT lire. Et vous savez quoi ? Même si vous n’avez pas lu Emorata, vous comprendrez tout (même si je vous en conseille la lecture avant, aussi une merveille !).
Foncez ! Et dites-moi ce que vous en avez pensé. De mon côté, je commence Ilmoran sous peu et je me réjouis, je sais d’avance que je ne peux qu’aimer.
Une merveille de suspense, de révélations, de hauts et de bas. SPLENDIDE !
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