mercredi 28 décembre 2016

Nuits d'encre - Françoise REY

Titre : Nuits d'encre
Auteur : Françoise Rey
Édition : Pocket
Nombre de nouvelles : 6
Date de parution : 1994 (réédité chez Pocket en 2003)
Nombre de pages : 179
Genre : Érotique, nouvelles
Décor : Pas toujours précisé, notamment Bruges, Belgique
Lu en : Décembre 2016

1/10

Quatrième de couverture : Elle a choisi la ville. Il a choisi le lieu. Ils vont célébrer leurs noces dans un palace de Bruges. Lentement, inéluctablement, ils se révèlent l'un à l'autre, font tomber les barrières, abolissent les tabous. L'aube les trouvera changés. Il en sera ainsi pour tous ceux qui décident d'aller au bout de leurs désirs, au-delà de leurs fantasmes. L'étudiante qui s'offre à un routier la nuit de Noël ; la jeune femme qui jette son dévolu sur un « guerrier viking »... Ces gens comme les autres que rien n'avait préparé à de telles rencontres, à de telles folies connaîtront la métamorphose d'une nuit unique, extravagante, inoubliable... Un superbe recueil de nouvelles qui mêle avec bonheur un érotisme débridé et un regard tendre sur l'amour.

« Et tu me baises fort, tu me tringles, je veux sentir tes couilles s’écraser sous mes fesses, et dessous, mets-moi des doigts dans le con, parce qu’il se sent tout vide et tout seul, il mouille de désespoir, bourre-moi partout, partout, je suis une bombe, et la mèche, c’est ta queue, qui brûle… Jamais, jamais, je n’ai senti ça, cette pression, cette puissance en moi, ça monte, ça monte, tu vas me faire jouir partout à la fois, je ne croyais pas que c’était possible, de se faire mettre aussi bien, aussi bon, aussi à fond… Même si tu étais encore plus gros, je te prendrais. Un tronc d’arbre, je le prendrais. J’ai l’impression d’avoir un cul profond, profond, une grotte que tu as découverte en forçant un petit passage de rien du tout… »

Amis de la poésie et du bon goût, au revoir, ou plutôt, toutes mes condoléances !

Mon avis : Je précise pour commencer qu’il s’agit en réalité d’un recueil de nouvelles, mais l’une des nouvelles fait presque les trois quarts du livre, à croire qu’il s’agit d’un roman court et de cinq petites nouvelles ensuite.

Certains le savent, en ce moment, je découvre la littérature érotique. Grâce à Wikipédia et à l’une de ses listes sur les auteurs érotiques francophones (récents), j’ai découvert le nom de Françoise Rey (et oui, j’ai ri en lisant le nom). J’ai trouvé Nuits d’encre dont le résumé me paraissait sympa, un couple marié lors de sa nuit de noces, ça promettait tendresse et érotisme.

Eh bien… Grosse erreur, je n’avais jusqu’à ce jour jamais lu un livre aussi répugnant. Je vais parler principalement de la première « nouvelle », Nuit de noces, qui ressemble à un roman, car les autres nouvelles sont tellement courtes qu’elles ne décrivent presque que l’acte et ne présentent pas un grand intérêt.

Je vous laisse lire la citation que j’ai choisie pour vous donner une idée du vocabulaire employé et des descriptions, et NON, ce n’est pas un passage cru, comme ça, au milieu du livre, car TOUT le texte est écrit de cette façon.

Les métaphores pour décrire les parties génitales sont vraiment étranges, repoussantes… L’homme qui s’astique le rameau pour que de sa branche pousse une grosse « cerise rouge et luisante » pour qu’il crée de la « liqueur de cerise » pour sa femme, c’est trop pour moi.

Métaphores absolument pas érotiques, vocabulaires répugnants, phrases mal construites et grossières, je n’ai tout simplement RIEN aimé de cette lecture. J’en ai le cœur qui se (re)soulève rien que d’y repenser. PLUS JAMAIS !

BEURK, BEURK, BEURK ! Faites n’importe quoi d’autres, même récurer les joints de votre salle de bains, vous aurez moins perdu votre temps !

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